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سلمى المصري من نجوم "بنات الماريونيت"


télévision

 

سلمى المصري من نجوم "بنات الماريونيت"    

Télévision

 

 


تصوير العمل الكوميدي الاجتماعي الإماراتي السوري

"بنات الماريونيت" 

 



من المنتظر أن يكون العمل جاهزاً خلال فترة قصيرة

وسيعرض قريباً على مجموعة من القنوات في دولة

 الإمارات العربية المتحدة والوطن العربي.

 

annachraalikhbaria.com

انطلقت في إمارة أبوظبي، عمليات تصوير المرحلة الثانية من العمل الكوميدي الاجتماعي الإماراتي السوري "بنات الماريونيت"، من إنتاج شركة الأشمل وبحضور نخبة من نجوم الكوميديا الإماراتية والسورية .

وتتناول الأحداث شخصيات رئيسية، تدور بينها الكثير من الأحداث المشوقة، وترافقها مجموعة علاقات عاطفية واجتماعية مطروحة بطريقة كوميدية جذابة.

ويشهد الإخراج ربطاً مميزاً بين الجو العام في كل من سوريا والإمارات، كما يعتمد على حبكة درامية رائعة ستشكل نقلة نوعية في الأعمال المشتركة، على اعتباره أول عمل كوميدي إماراتي سوري.

ومن المنتظر يكون العمل جاهزاً خلال فترة قصيرة، وسيعرض قريباً على مجموعة من القنوات في دولة الإمارات العربية المتحدة والوطن العربي.

يذكر أن مسلسل "بنات الماريونيت" هو أول مسلسل كوميدي إماراتي سوري يضم ما يزيد عن عشرين نجما من نجوم الكوميديا من سوريا والإمارات منهم "أمل عرفة، أيمن رضا، سلمى المصري، صفاء سلطان، أندريه سكاف، محمد خير الجراح، روعة ياسين، طارق مرعشلي، رواد عليو، رنا شميس، رضوان قنطار، ناهد الحلبي، سحر فوزي، جمال العلي، روبين عيسى جوليا الشواشي، حمد الكبيسي، علي الطاهر، سارة العمراني، حسام الشاه  وحسام تحسين بيك".

 

 télévision

 

 

Badr Rami inaugure l'Opéra Royal de Mascate d’Oman



النشـرة الفنيـة..
تتويـج
Au rythme des Mouachahates et des Koudoud Halabiya
 (chants d’Alep)
 
Badr Rami inaugure l'Opéra Royal de Mascate d’Oman

    
                        
النشـرة الإخبـارية
Ahmed Tarek

L’artiste syrien virtuose Badr Rami , natif du Maroc, a émerveillé avec brio  le grand  public de sultanat d'Oman  lors de la soirée  inaugurale initiée  récemment à  l'Opéra Royal de Mascate , et ce  en présence de plusieurs personnalités culturelles et officielles en l’occurrence   le ministre de la culture,  le ministre de l’environnement, ambassadeur du Maroc, ambassadeur syrien,  et  plusieurs poètes et artistes de renom , ainsi que  diverses  nationalités arabes  et étrangères  dont le point commun est la paix et la tolérance . Il est à  signaler  que l'Opéra Royal de Mascate est un lieu de premier plan pour les arts musicaux et la culture au sultanat d'Oman. L'opéra est situé dans le district Shati Al Qurm de Mascate, sur la rue du Sultan Qabus. Construit sur les ordres royaux du Sultan Qabus d'Oman, l'Opéra Royal de Mascate est un représentant unique et fascinant de l'architecture omanaise contemporaine, et a une capacité d'accueil de 1100 personnes. Le complexe de l'opéra se compose d'une salle de concert, d'un auditorium, de jardins, de marchés, de restaurants de luxe et d'un centre artistique de production de musique, de théâtre et d'opéra.
Après avoir animé une conférence de presse  digne de son statut mondial  rehaussée par la présence de tous  les organismes médiatiques accrédités, tous   supports confondus, Badr  Rami  a ré enchanté les mélomanes  par  sa voix angélique et son calibre charismatique  qui nous rappelle  Sabah Fakhri , son père spirituel et son idole .   Notre star  a été en compagnie  de l’orchestre «  Angham Achark » (mélodies de l’orient)  dirigé  par on père, le célèbre violoniste  et Maestro Mohamed Rami Zeitouni.   A l’issue de  cette soirée mémorable,  le ministre de la culture, Mohamed Toubi,   lui a remet un trophée à titre de  couronnement  et d’estime.  De son coté, Issam El Malah,  président des activités et des affaires  de  l'Opéra Royal de Mascate, lui a dédié un trophée et un livre volumineux, signe révélateur et acte de  solennelle  consécration et  reconnaissance  dans le cadre d’une cession portant le nom mythique de l’artiste de renommé internationale Pavarotti.
Dans ce contexte  convivial et notoire, Badr Rami, Pavarotti  du Maroc selon l’expression  de l’artiste  illustre Pavarotti,  a donné conjointement avec  son père Rami Zeitouni  une conférence  culturelle et artistique à l’Université  du Sultan Qabus, département de la musique, et ce   au profit des étudiant chercheurs et mélomanes, en présence  du doyen de ladite université  et  des pédagogues et  professeurs chercheurs . A cet égard, il a révélé l’histoire  des  Mouachahates  (poèmes à forme ¬fixe) et des Koudoud Halabiya (chants d’Alep), en mettant l’accent sur  les valeurs musicales et patrimoniales. Une occasion idoine pour présenter , pour la première fois  dans un pays arabe  frère ,  son album  de référence « Fi  Rihabi Annagham : Al Koudoud Halabia » (   Dans   le sillage de la mélodie - Al Koudoud Halabia» )  ( Tome I)   qui a drainé un grand nombre  de  férus et funs    aux cotés de sa  nouvelle chanson single  «  Bent Elechrin» ( fille à  vingt ans )  composée par l’artiste syrien Mazzine Al Ayoubi  ,  en s’inspirant de son  répertoire  musical  dans ses  répartitions mélodiques émouvantes .  Cette  première chanson est un grand tournant dans son parcours artistique personnalisé.  La télévision d'Oman a consacré un spécial sur son parcours artistique  en tant qu’une des figures incontournables du tarab arabe à l’échelle mondiale.  Il s’agit d’une   grande escale humaine de la rencontre, du partage et du dialogue interculturel. Cet  artiste hypersensible   est doté  d’une longue formation approfondie   dans le domaine de la chanson  arabe originale    après avoir  côtoyé les  vétérans de ce domaine en l’occurrence Sabah Fakhri très  jeune. Sur cette participation, Bader Rami nous a confié : «  je tiens à saluer vivement et chaleureusement tous les organisateurs de cette  manifestation artistique grandiose à  l'Opéra Royal de Mascate  pour leur accueil, leur passion  et leur  professionnalisme. Ma participation est dédiée avec cœur ouvert et volontiers  à mon pays d’origine, la Syrie, et à mon pays natal ; le Maroc.  J’ai l’insigne honneur de porter le drapeau marocain et de  représenter le Royaume  Marocains de par le monde, en souhaitant   à Sa Majesté   LE Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, santé et prospérité.  A titre de cette cordialité et amour pour le Maroc, j’ai chanté deux chansons marocaines qui figurent dans le répertoire musical authentique.  J’estime  que toutes les  initiatives culturelles, ont   gagné   ce   pari  civilisation el ; à savoir  l’acte d’affirmer le rôle primordial que peut jouer   Attarab Alarabi  dans toutes ses formes d’expression   dans le dialogue interculturel  ainsi que dans le partage des expériences entre les artistes. C’est toute une plate forme d’action, d’échange et de découverte dont la démarche consiste à « faire faire », c’est  à dire de veiller sur la valorisation et la promotion de  la création artistique ainsi que les actions à caractère culturel par le biais de partenariats appropriés.
 Par ailleurs,  cet événement  incontournable  est   une occasion pour faire  voir  quelques facettes  représentatives de la musique sacrée en présence effective d’un  parterre distingué de nos pères spirituels en l’occurrence  Sabah Fakhri . Notre souci majeur est de tisser des liens d’échange  et de partage pour une meilleure coexistence  et partenariat entre les  artistes  qui ont accepté  l’invitation   de ce rendez- vous et qui ont fait preuve de leur potentiel créatif. A ce titre, je tiens à saluer  encore une fois tous les acteurs culturels et les mélomanes   pour le grand soutien accordé   à l’art  du Tarab Alarabi  pensé  et réfléchi  de telle façon que les artistes, tout autant que les  auditeurs s, puissent s’y reconnaître. ». Et d’ajouter : « l’originalité de ma démarche se traduit par l’univers mystique  multidimensionnel  du  Tarab Alarabi Alassil   sur les traces de  Mohamed Abdelwahab  et Oumo Kaltoum. C’est un chant original  qui s’inscrit dans la culture de la jouissance,  de la tolérance et de la  concorde  internationale. Notre troupe «  Angham Achark »   tient à  exprimer  les  valeurs nobles vouées à l’amour au sens spirituel du terme, en exploitant la charge symbolique de  l’éducation spirituelle. C’est un champ libre et pur qui englobe tout et démontre l’unité de l’existence, mais il est aussi le voile suprême dressé devant le Très Haut.  Ainsi, le chant mystique   est une voix   universelle  qui permet la purification des âmes. En  tant  qu’artiste, j’essaie de mettre en valeur cette culture  humaine  selon une vision  moderne qui repose sur la réflexion,  la méditation et  la nouveauté, tout en affirmant la nécessité de redynamiser le rôle de ce  patrimoine musical dans ce sens. Il s’avère très important de souligner que l’art du Tarab Alarabi  est un art spirituel par excellence vu ses conceptions idéales et  ses valeurs éthiques. Cette  pratique musicale  axée sur l’élévation et la sublimation témoigne de l’apport de paix et de beauté de par le monde. Elle est imprégnée par une soif  de majesté, de splendeur et d’ouverture sur l’autre, ce qui montre la richesse de l’esthétique islamique. L’importance de cet art dans le paysage artistique mondial est évidente : la majorité des tendances contemporaines sont inspirées de cet art dont  la philosophie découle essentiellement de la beauté divine ».
A titre de rappel, Badr Rami va   animer la soirée  inaugurale la première  édition  du Festival International  Tariqua  aissaoua  organisée  par l’Association Fès Saiss en  partenariat avec beaucoup  d’organismes publics et privés    du 19 au 21 avril 2018 au  Palais   Mechouar à  Casablanca. Premier de son genre, ce festival est  l’occasion pour les citoyens  et les partenaires  de partager des moments de joie et de fierté à travers une série d’activités riches en échanges et de partages.

 Bio express 

Badr a su conserver et maitriser  l’âme  du Tarab, cette ivresse musicale qui saisit l’auditoire mélomane, en animant depuis des années de nombreux concerts au rythme de beaux textes mystiques et poétiques. Il est à rappeler que  Badr Rami,  artiste d’origine syrienne, né au Maroc à Casablanca le 03 juin 1986. Son père, le célèbre violoniste  et Maestro Mohamed Rami Zeitouni, est né à Alep (Syrie), ville reconnue pour l’authenticité, la culture ancestrale et la passion de ses habitants pour le Tarab, art originel et spirituel de cette contrée. Sur les traces de grandes figures de la chanson arabe, Badr  a impressionné par sa voix angélique  les mélomanes lors de ses soirées artistiques  animées de par le monde. Une étoile rayonnante dans le domaine   des Mouachahates (poèmes à forme ¬fixe) et des Koudoud Halabiya (chants d’Alep). Disciple et fils spirituel de grand chanteur de renommée internationale  Sabah Fakhri.  Il devient très jeune un adepte des chansons de  la vida Oum Kalthoum et de grand maestro de toutes les générations  Mohamed Abdelwahab. Il entame sa carrière artistique à la fin des années 90 et choisit rapidement un style original et authentique qui fera de lui un nom   illustre et incontesté  de la scène musicale arabe contemporaine. Chanteur  de renom    doté  d’une longue formation approfondie   dans le domaine de la chanson  arabe originale    auprès   des vétérans de ce domaine,  Badr Rami  s’attache à la conservation et à l’interprétation des chansons les plus représentatives du  chant  arabe, et ce d’une manière singulière et inédite, tout en restant   fidèle à la voie authentique  de son école de référence : Sabah Fakhri
 Les  grands artistes ont  bien apprécié  à l’unanimité son talent créatif ,  entre autres, Sabah Fakhri qui a bien voulu  le présenter  comme une star montante lors de la soirée  de clôture du Festival  de Fès de  la Culture Soufie en 2009, ainsi que  Wadie Essafi, le compositeur égyptien Mohamed Soultan, l’écrivain journaliste égyptien Wajdy Al Hakim et le chanteur marocain Abdelwahab Doukkali.
Les écoles des grands chanteurs  arabes demeurent pour lui une source inépuisable tels que: Cheikh Sabri Moudallal, Mohamed khairi , Adib Dayekh, Oum Kalthoum, Mohamed Abdelwahab, Wadie Essafi, , Sayed Darwich,  Cheikh Ali Darwich, Mohamed Othmane, Cheikh Omar Al Batch, cheikh Bakri El Kourdi, Cheikh Salama Hijazi et bien d’autres.
Badr Rami  essaie à sa manière d’apporter aux Mouachahates et aux Koudoud Halabiya une touche novatrice, en maîtrisant un répertoire très vaste incluant les grands poètes arabes classiques ou contemporains. A l’instar de grands ténors, il a su donner le meilleur de lui-même en chantant des parties improvisées et mesurées allant du Samaï (assorties de compositions) et Mouwachah au Dawr, et de Taqsims (d’improvisation sur des modes) au Mawal (déclamation développée sur un poème) puis les Koudouds Halabiya
  

Hommage à feu l'artiste peintre Abdellatif Zine


النشـرة الفنيـة..

تشكيــل
Initié par l’Association Nationale des Arts Plastiques   


Hommage à feu l'artiste peintre Abdellatif Zine


Sous le signe «Créativité et cultures », l’Association Nationale des Arts Plastiques organise en partenariat avec plusieurs organismes publics et privés  la cinquième édition du Salon National  des Arts Plastiques  en hommage à feu l’artiste peintre Abdellatif Zine , et ce du 28 avril au 6 mai 2018 à  Mohammedia




النشـرة الإخبـارية
Mohammed Mrasseli



L'artiste peintre Abdellatif Zine (1940-2016)  était le président fondateur du syndicat marocain des artistes plasticiens professionnels et le fondateur de l’Union des syndicats des artistes marocains
Artiste peintre prolifique et à idées, Zine s'était fait remarquer par des démarches artistiques liées à la fusion entre la peinture et la musique gnawa (trans'art). Connu aussi par ses positions tranchées, parfois virulentes, Zine était considéré comme l'un des acteurs importants de la scène artistique au Maroc
Abdellatif Zine est considéré aujourd’hui comme l’un des noms majeurs de l’art plastique au Maroc et à l’étranger : Il a commencé très tôt à peindre. Né en 1940 à Marrakech, il a fait ses études à l’Ecole des Beaux-arts de Casablanca de 1960 à 1962 avant d’aller les continuer à Paris à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-arts (1963-65). Entre-temps, Zine a participé à quelques expositions collectives (63) ou organisé des individuelles, entre autres à Tunis en 64 et Los Angles en 65, comme il a eu l’occasion de travailler comme critique pigiste à la radio télévision RFI. On ne saurait certes citer toutes les expositions de l’artiste au cours des années 60/70 dont surtout les biennales de Paris et du Brésil en 65, dates essentielles dans un parcours émergeant. Le travail plastique de Zine est habité par le souci de la forme et du mouvement. Le cadre expérentiel évoluera aussi avec le contenu, toutes tendances post modernistes confondues : Art fonctionnel, colors of Jazz, Trans’Art, Sport Art, Tbourida’Art… « Comme Gharbaoui, Charkaoui, ZINE a été formé aux Beaux-Arts, dans son cas, à la fois à Casablanca puis à Paris. Il eut un projet essentiellement esthétique. Il tenta, mais pendant peu de temps, de développer sa création selon les normes nouvelles au Maroc de l’abstraction importée d’Europe. Il l’abandonna rapidement. Hommage émouvant à Abdellatif Zine Zine aux yeux des critiques d’art et des écrivains de renom Si on ne considère que la thématique de ZINE, on pourrait parler de son œuvre post-orientaliste. Il reprend en effet les mêmes sujets que les peintres de la période précédente. Mais dés que l’on considère les moyens employés, non les outils, couteaux et pinceaux, mais les couleurs et la manière se peindre, on est obligé d’ajouter le préfixe « post » à orientalisme. » (Jean-Francois Clement-Ecrivain). « Partant d’un modèle à l’état de vestige, il opère successivement des métamorphoses pour aboutir à un objet identifiable ; à savoir une toile qui vous parle de votre réalité, de vos racines et de vos potentialités. Si tant est qu’une toile, comme un poème, peut aider à vivre, en libérant l’inconscient des couches mortes, d’une peau morte, eh bien ! Une toile de ZINE libère celui qui la voit d’une certaine cécité. Cette œuvre remarquable et qui a déjà sa place dans le patrimoine pictural mondial, pour s’être accomplie solidairement dans un milieu difficile, imperméable à la nouveauté, doit figurer, comme une ambassadrice, dans toutes les expositions de la peinture marocaine à l’étranger. » (Mohammed Khair-Eddine - Poète et romancier, Jeune Afrique). « (…) Il a évidemment son approche qui est une approche anthropologique et culturelle. Mais il fait partie d’une famille éparse qui sera de plus en plus nombreuse et qui sera justement celle de la création d’une culture appropriée à ce présent permanent qui est le nôtre depuis que cette société post-moderne coexiste avec la vieille modernité qui essaye de se mettre à jour, tant que la post- modernité vit le plein présent de ses recherches et de ses intuitions. Ces intuitions post-modernes : c’est justement la démarche de Zine que je voudrais saluer ici comme un facture de culture nouvelle qui vient se rapprocher et s’insérer dans une très grande interrogation qui n’a pas de limites et qui est vraiment planétaire. » (Pierre Restany Critique d’Art). « La cérémonie traditionnelle est ici synthétique par l’accomplissement successif des cinq danses qui correspondent aux cinq couleurs et aux cinq forces spirituelles invoquées. Au cours de chacune de ces cinq danses, ZINE, muni d’un pot de couleur ; asperge le danseur qui, vêtu de blanc, reçoit la couleur sur ses habits et dépose sur la toile les empreintes de cette couleur qui se révèle en lui au moment de la transe et de l’incarnation de l’esprit. Lorsque chaque danseur a imprimé sa couleur sur les deux supports sol-mur, l’artiste asperge de toutes les couleurs un dernier danseur qui dépose lui aussi les empreintes de la transe sur la toile. Enfin ; ZINE clôture l’intervention en achevant la toile-mur avec du blanc et du noir. La toile au sol devient un mélange complexe des cinq couleurs utilisées, constat plastique de l’énergie de tous les intervenants, y compris des spectateurs qui se sont approchés pour voir, filmer ou photographier l’artiste, les danseurs et les musiciens. » (Joppolo Giovani-Critique d’Art, Opus International). « Le peintre sollicite tout un rituel libérateur des forces enfouies, comme pour conjurer la mort et renouer, par la transe et l’extase, avec la nostalgie mythique du paradis perdu. Cependant, le fluide coloré que lance ZINE pour irriguer le danseur enfiévré, est le trait d’union visuel éphémère entre deux signifiances antithétiques : l’expression corporelle et l’intensité picturale… ZINE, par son dispositif, n’est pas le maître d’œuvre distant d’une liturgie dionysiaque : en artiste, il s’implique. Sur l’autel de la peinture et du délire, il ose sacrifier la figuration de ses œuvres initiales à l’abstraction rythmique jaillissant qu’il dompte puis exorcise (…) Aux « empreintes magiques » de la toile signée ne faut-il pas ajouter, comme produits artistiques, la bâche colorée du sol part tant de pieds foulés, les tuniques maculées des protagonistes come les images exclusives, fixes et mobiles, des gestes prémonitoires, de cette étrange dance mystique de la lumière ? » (Khalil M’rabet-Artiste plasticien et critique d’Art, Le Monde). « Les silhouettes esquissées des musiciens se couvrent de taches, de virgules, de spirales, d’arabesques, de lignes fulgurantes ; « Les signes que je trace sur le tableau n’ont aucun sens, précise l’artiste, mais ils possèdent une charge émotionnelle. Avec Ces musiciens nous avons le même ange inspirateur ». Le saxo et le piano soutenus par la batterie et la contrebasse résonnent, gutturaux, tracassés dans l’arc-en-ciel dense et tellurique que dessine Zine. Mais la musique n’accompagne jamais le peintre. On se regarde, on s’entend, et on passe le cap (...) La nuit vient de passer telle une étoile filante. Le plaisir n’a pas de mesure. » (Jean Marie Tasset - Critique d’Art, Le Figaro). « Zine, a choisi les instruments des sportifs : ballon, balles, boules, roues de bicyclette, autant d’objets qui sont le prolongement naturel et obligé du geste du sportif. Zine a recours au couple sportif-instrument du sport comme moyen de faire œuvre de création, tout en restant distant d’elle. Ce couple s’entend non seulement au sens de dualité mais aussi au sens de la machine physique dont le Petit Robert nous rappelle qu’elle est « un ensemble de deux forces parallèles égales entre elles, de sens contraire » : ce dernier couple est défini comme moteur. Et il est terriblement moteur chez ZINE. N’y a-t-il pas antagonisme entre le ballon qui échappe à toute préhension humaine et le sportif qui en fait son outil, son esclave, le moyen de son dépassement et de sa réussite. L’art du sportif est de maîtriser le non maîtrisable.Claude Mollard-Ingénieur culturel


الملك أعطى تعليماته لإطلاق عملية التلقيح ضد فيروس كورونا بعض تفاصيل العملية مع البروفيسور إبراهيمي


média

télévision

 

 
 

بعد أن أعطى الملك تعليماته لإطلاق

عملية التلقيح ضد فيروس كورونا 

média

 

هذه بعض تفاصيل العملية مع البروفيسور عز الدين إبراهيمي  

média 

لمحاربة وباء (كوفيد-19) يجب أن يكون لدى الشخص

 مناعة طبيعية أو مكتسبة  

                                            
                          

قال البروفيسور عز الدين إبراهيمي، مدير مختبر البيو-تكنولوجيا الطبية

 بكلية الطب والصيدلة بالرباط:" أن في المغرب، هناك ثقافة للتلقيح،

 وبأن منظمة الصحة العالمية سبق وأن نشرت توصيات بشأن التلقيح المكثف

 مع إعطاء الأولوية لشرائح معينة.

وأشار إلى أنه للمرة الأولى "نعكف على تطوير لقاح، وبالتالي فإننا بصدد

الكشف عن جوانب في عملية استخدمناها دوما في سبيل الحصول على الأدوية"

،مضيفا أنها الطريقة ذاتها المتبعة في علاج معين، لأنها تلزم بالمرور عبر عملية ترخيص التي هي غاية في الصرامة".

 

annachraalikhbaria.com

أفاد البروفيسور عز الدين إبراهيمي، مدير مختبر البيو-تكنولوجيا الطبية بكلية الطب والصيدلة بالرباط، بأن نحو 10 ملايين جرعة من اللقاح المضاد لفيروس (كوفيد-19) ستكون متوفرة بالمغرب خلال المرحلة الأولى.

وأوضح البروفيسور إبراهيمي،  أن حملة هذا التلقيح المضاد تستهدف في المقام الأول العاملين في القطاع الصحي، والأمن الوطني، والسلطة المحلية، على اعتبار أنهم يوجدون في الخطوط الأمامية للتصدي للجائحة، فيما تهم المرحلة الموالية الأشخاص في سن معينة والذين يعانون من أمراض أو أمراض مزمنة.

 

وتابع أن ذلك "يشكل هاجسا، لأنه سيكون لدينا عددا قليلا من الجرعات في البداية بما قدره 10 ملايين جرعة، وسنحاول توزيعها وفقا للأولويات. وهو مع ذلك أمر مهم لأنه سيفتح لنا الباب للحصول على اللقاح".

وذكر المتحدث بأنه في المغرب، هناك ثقافة للتلقيح، وبأن منظمة الصحة العالمية سبق وأن نشرت توصيات بشأن التلقيح المكثف مع إعطاء الأولوية لشرائح معينة.

وأشار إلى أنه للمرة الأولى  "نعكف على تطوير لقاح، وبالتالي فإننا بصدد الكشف عن جوانب في عملية استخدمناها دوما في سبيل الحصول على الأدوية" ، مضيفا أنها الطريقة ذاتها المتبعة في علاج معين، لأنها تلزم بالمرور عبر عملية ترخيص التي هي غاية في الصرامة.

وفي رأي البروفيسور إبراهيمي، فإن "أي مختبر لا يمكنه المغامرة بلقاح غير فعال" لدواع تجارية محضة، داعيا، كمغربي، الجميع إلى القيام بالتلقيح ضد الأنفلونزا الموسمية، خاصة بالنسبة للفئات في وضعية صحية هشة، ومعربا عن يقينه بأن  » كل فرد يدرك بأن التلقيح ليس من أجله، بل من أجل الآخرين، وأتمنى أن ينخرط كافة المغاربة في هذه الحملة".

وحول فائدة اللقاح، أكد مدير مختبر البيو-تكنولوجيا الطبية أنه لمحاربة وباء (كوفيد-19)، يجب أن يكون لدى الشخص مناعة طبيعية أو مكتسبة.

وعلاقة بالمناعة الطبيعية، يقول الخبير، فإن الأمر يتعلق بتطوير أجسام مضادة للمصابين بفيروس كورونا، بما يسمح لهم بمكافحة الفيروس، مضيفا أنه يجب استعمال لقاح للحصول على مناعة مكتسبة.

وأكد ، في هذا الصدد، أن هذه "العملية يمكن التحكم فيها"، مسجلا أن "هذا اللقاح يمكن الجسم من تطوير الأجسام المضادة بمجرد الإصابة بالفيروس. وهذه العملية من الأهمية بمكان لأنها ستجعل من الممكن الحصول على مناعة مكتسبة لمحاربة الفيروس. وهو أمر ضروري للوصول إلى حل جذري للأوبئة".

وكان صاحب الجلالة الملك محمد السادس قد ترأس، الاثنين الماضي بالقصر الملكي بالرباط، جلسة عمل خصصت لإستراتيجية التلقيح ضد فيروس كوفيد-19، أعطى خلالها جلالته توجيهاته السامية من أجل إطلاق عملية مكثفة للتلقيح ضد فيروس كوفيد-19 في الأسابيع المقبلة، على أن تغطي المواطنين الذين تزيد أعمارهم عن 18 سنة، حسب جدول لقاحي في حقنتين.

 

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